Évangile selon saint Matthieu chapitre 28, versets 16-17

Doutes des disciples

16 Les onze disciples s’en allèrent en Galilée, à la montagne où Jésus leur avait ordonné de se rendre.
17 Quand ils le virent, ils se prosternèrent, mais certains eurent des doutes.

Évangile selon saint Matthieu chapitre 28, versets 16-17

Gens Qui croient, gens qui doutent

précédente suivante

Ce n’est pas avant que Jésus leur apparaisse, c’est au moment même où il leur apparaît que certains doutent. On pourrait s’en étonner, on pourrait les critiquer : mais enfin, est-ce donc possible de ne pas croire ce que l’on voit ? de ne pas voir ce que l’on voit ? Ces gens qui doutent, littéralement, ils n’en croient pas leurs yeux. Je ne sais pas quelle aurait été ma réaction si j’avais été avec les onze : me serais-je prosterné, heureux de croire, croyant déjà ? Sur ce point, j’ai comme un doute. Heureux je suis, heureux de croire sans avoir vu*. Heureux que ma foi ne dépende pas de ce que mes yeux auraient peut-être refusé de voir, mais de m’appuyer sur qui m’a précédé, sur deux mille ans ou presque qui me disent : Il est ressuscité. Ce que je vois, c’est dans la vie de tant et tant de saints, connus ou anonymes, c’est dans ma vie, des signes déjà de la résurrection, et cela m’aide à croire.
On les connaît, ces signes, il peut être bon de se les raconter quand vient le doute : quand la violence n’a pas eu le dernier mot ; quand il faisait tant nuit, mais qu’on gardait farouche l’attente de l’aurore ; quand un pardon, quand une paix, quand elle n’a plus pleuré matin et soir, quand il a su avoir un mot d’amour. Et, puisque toujours j’ai comme un doute, n’oublions pas cette finale de Matthieu : l’Évangile – heureux sommes-nous ! – l’Évangile ce n’est pas la foi sans aucun doute, c’est une foi mêlée de doute. L’Église, heureux sommes-nous, l’Église c’est gens qui doutent et c’est les mêmes gens qui croient


* Évangile selon saint Jean ch 20, v 29

Réagir

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

(Il reste 1500 caractères)

46 commentaires

Oui... je suis comme les apôtres ... je crois et parfois je doute...
Mais au soir de ma vie je doute de moins en moins...
Je sais qu'Il m'accueilleras et me jugeras !Je crois en la miséricorde divine
MERCI Seigneur !!!

Par Cl@udio 14 février 2020 à 18 h 33 Répondre à ce commentaire

il est vrai ce n'est pas facile , parfois je doute seigneur aide moi à croire sans voir
merci déjà pour cette grâce

Par Mireille GRANVILLE 12 février 2020 à 12 h 55 Répondre à ce commentaire

merci pour cette méditation, elle me réconforte, j'ai la foi, je parle de ma foi quand des personnes me demande si je crois en voyant ma croix ou que je leur dis que je fais du kt
ils sont étonnés, parfois il me mette face à la misère du monde face à dieu pourquoi ne fait-il rien ? là je leur dis dieu est présent dans chacun de nous mais si nous le laissons pas entrée il attendra peut pour rien car vous ne lui ouvrirez peut être jamais votre coeur, ce qui ce passe dans le monde c'est nous les hommes qui le réalisons
bien sur il me mette encore devant la mort d'un être aimé qui n'a jamais fait de mal, ou de la maladie. je leur réponds que moi aussi j'ai perdu des êtres aimés très jeunes, j'ai réagi au départ comme vous la colère la haine de dieu mais finalement ce n'est pas à dieu mais à moi même que cette colère s'adressait, j'avais besoin d'un bouc et émissaire pour reporter sur dieu ma colère de ne pas avoir été présente devant mon petit frère(16 ans) hospitalisé suite à un accident car j'avais peur des hôpitaux, et puis mon grand frère mort aussi d'un accident (24 ans) ou on ne m'avait pas laissé aller à son enterrement et forcé à aller au collège ou là personne ne savait ma peine
moi même combien de souffrances diverses j'ai vécu et la maladie (le cancer) là je leur dis, si je n'avais pas eu dieu pour me soutenir durant toutes ces années ou il m'a tenu la main, mit sur mon chemin des personnes pour venir à mon secours
ou serai je aujourd'hui ? l'amour c'est dieu

Par Leelou 11 février 2020 à 20 h 56 Répondre à ce commentaire

11 février : journée consacrée aux malades.

Pensées priantes pour tous ceux et celles atteints par la maladie quelle qu'elle soit. Des chemins habituels se réduisent ou se ferment. Puisse la Présence qui nous habite nous laisser percevoir d'autres voies vers la vraie VIE. A l'aide, Seigneur.

Par Esperanza 11 février 2020 à 17 h 07 Répondre à ce commentaire

Toutes ces "joutes épistolaires " me semblent bien inutiles ......

Bonne journée à tous.

J.C

Par J.C 11 février 2020 à 15 h 42 Répondre à ce commentaire

C'est sur que si vous y voyez et entendez des joutes, j'en suis désolée.
Bonne journée à vous..

Par & 11 février 2020 à 16 h 54

Bien entendu , mes propos ne valent pas pour tous les commentaires, seulement pour quelques uns. ......peu nombreux .....
Bien sincèrement Chère &.
J.C

Par J.C 11 février 2020 à 21 h 32

Merci Paul de nous avoir fait partager cette méditation de Frère Roger. Non, la foi n'est pas une théorie. Elle ne s'explique pas. Elle peut se heurter à l'incompréhensible. Comme l'écrivait Frère Grégoire, il était peut-être plus facile de croire en ayant vu. Nous, nous n'avons que la confiance pour croire.

Par mahona 11 février 2020 à 11 h 48 Répondre à ce commentaire

Hier à l'hôpital le soignant m'a demandé qu'elles étaient mes projets, mes objectifs etc.....J'ai répondu sans hésitation mes convictions c'est Dieu par l'intercession de la Vierge Marie, je m'attendais à des sourires, pas du tout, elle m'a répondu c'est bien, ensuite mes enfants. Avant je ne me plaignais jamais, Il y a deux ou trois ans, le doute a commencé à m'envahir, à s'insinuer en moi, à me pervertir, des idées noires, je disais n'importe quoi, quand j'ai perdu pratiquement la vue, cela ne s'arrange pas, d'autres problèmes s'ajoutent, j'ai craqué, la rechute de ma fille (genèse 2.15.17) pourtant la foi a toujours été présente dans ma vie. La souffrance a t-elle un sens, « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? », est ce un doute du Christ, le psaume 22 se termine par un cri d'espérance et de confiance en Jésus mort sur la Croix par amour.

Par Suzelle 11 février 2020 à 9 h 53 Répondre à ce commentaire

Suzelle, je me sens bien impuissante à vous apporter quelque réconfort. Je peux simplement vous dire que des grains du chapelet seront dits pour vous. Que Marie vous vienne en aide. Fraternellement.

Par mahona 11 février 2020 à 11 h 32

C'est drôle, enfin façon de parler, mais dans cette demande du soignant j'entends la question de Jésus à l'aveugle: que veux-tu que je fasse pour toi?. Mais comme ce n'est qu'une petite main humble qui pose la question, ce qu'il demande c'est plutôt comment peut-on vous aider dans vos objectifs et votre désir de vivre, avec les petits moyens qui sont les nôtres...
Bon courage Suzelle avec tout cet hôpital de campagne qui vous entoure.
Désolée, c'est du &, pas du Paul...

Par & 11 février 2020 à 11 h 54

Bonjour à tous ,
en lisant certains commentaires ,cette Parole m'est venue naturellement :
ô coeurs sans intelligences ;lents à croire ce qu'ont dit les prophètes !!!
Et Daniel , le prophète en captivité me rappelle , les trois enfants dans la
fournaise , il faut dire que Lui avait une confiance en Dieu absolue .
On s'étonne , on se questionne du pourquoi jeûner ?
Un chemin dans le désert ...cela peut durer quarante ans , voir plus ...
Soif ? Notre Dame de Lourdes priez pour nous qui avons recours à vous .

Par fred 11 février 2020 à 8 h 41 Répondre à ce commentaire

Depuis que Jésus (incanation de l'amour rédempteur de Dieu) a quitté ce monde, tout ceux qui ont cru et croient aujourd'hui en Lui, on cru et croient sans l'avoir vu. Qu'il ait fait des miracles que l'on a pas vus ou que l'on ait jamais vu une apparition de son corps de résurrection n'enlève pourtant rien à notre foi car c'est en sa mission que nous croyons.
Sa mission était de mourir comme sacrifice expiatoire pour le péché du monde, et de ressusciter ensuite afin d'être à la fois vainqueur de la mort et de celui qui détenait le pouvoir de la mort c'est à dire le diable.
C'est dans la valeur de son sacrifice que nous croyons, car c'est par sa mort que nous recevons la délivrance du mal et par sa résurrection que nous avons accès à la vie.
Jésus a payé de sa personne le prix de la rançon pour le rachat de notre condition d'esclave.
En ce monde nous naissons tous esclaves du diable qui nous conduit à la mort.
Mais dans la victoire du Christ nous avons l'assurance du Salut et de la vie éternelle.
Ce ne sont pas nos mérites religieux ou nos œuvres charitables qui nous permettront d'entrer au Paradis. Cette faveur dépend de la Grâce de Dieu offerte aux condamnés à mort que nous sommes.
Mieux qu'une grâce présidentielle accordée aux coupables repenris, la Grâce de Dieu ne s'achète pas avec des bonnes œuvres même les plus méritantes. La Grâce de Dieu est un cadeau "luxueux", "très haut de gamme", hors de prix ! Un cadeau reste gratuit parce qu'il est offert. Mais un cadeau n'est jamais gratuit pour celui qui l'offre. Dieu a donc mis le prix qu'il fallait pour nous l'offrir. Un prix inestimable à la mesure de la grandeur de Dieu. À la mesure de Sa puissance, de Sa gloire, de Son amour.
Croire en Jésus c'est croire au cadeau de la vie éternelle que Dieu nous fait par le chemin qu'il a inauguré pour nous en devenant le second Adam d'une nouvelle génération d'êtres nouveaux et éternels devenus semblables aux anges...
Ce que nous deviendrons lorsque nous le verrons au jour où il viendra nous chercher pour nous emporter auprès de Lui.
C'est notre espérance, c'est notre foi.

"En effet, Dieu a tellement aimé le monde, qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point mais ait la vie éternelle. Car Dieu n'a pas envoyé le Fils dans le monde pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui."
Jean 3:16?-?17 BCC1923
https://bible.com/bible/504/jhn.3.16-17.BCC1923

"Et vous, vous étiez morts par vos offenses et vos péchés, dans lesquels vous marchiez autrefois selon le train de ce monde, selon le prince de la puissance de l'air, de l'esprit qui agit maintenant dans les fils de la désobéissance. Nous tous aussi, nous vivions autrefois comme eux selon les convoitises de notre chair, accomplissant les volontés de la chair et de nos pensées, et nous étions par nature enfants de colère, comme les autres. Mais Dieu, qui est riche en miséricorde, à cause du grand amour dont il nous a aimés, et alors que nous étions morts par nos offenses, nous a rendus vivants avec le Christ (c'est par grâce que vous êtes sauvés); il nous a ressuscités ensemble et nous a fait asseoir ensemble dans les cieux en Jésus-Christ, afin de montrer dans les siècles à venir l'infinie richesse de sa grâce par sa bonté envers nous en Jésus-Christ. Car c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi; et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu; ce n'est point par les œuvres, afin que nul ne se glorifie."
Éphésiens 2:1?-?9 BCC1923
https://bible.com/bible/504/eph.2.1-9.BCC1923

Par XY7 10 février 2020 à 23 h 34 Répondre à ce commentaire

Pure/belle théorie.
C'est la foi qui sauve: en même temps comme c'est elle qui a enchaîné et qui enchaîne au péché et au diable, c'est bien qu'elle prévoit, trouve, une porte de sortie, de libération.
Mon père s'appelait Z, mais c'était un génie!

Par W454 11 février 2020 à 5 h 06

A tous les deux,
Heureusement que je n'ai plus regardé le site avant de dormir...a part les mots de St Jean et St Paul...(que je mediterai plus tard), je crois que j'aurais eu difficile à trouver le sommeil, kat

Par Kat 11 février 2020 à 7 h 06

W454: chanson de Michel Sardou datant d'environ 1975.
Pied de nez à XY7: Peut-être un homme (chromosome x et y) parfait (chiffre 7, contrairement au chiffre 6, celui du diable, hou ça fait froid dans le dos!!!....)? Un vrai fils de Dieu : 100% d'humour!?....
Chère Kat, inutile de se creuser la tête le soir comme le matin. auriez-vous eu peur? de quelques mots, "... peur d'une chanson. Vous manquez d'imagination..". ça c'est Jean Ferrat: si j'étais peintre ou maçon.
Et moi, c'est toujours moi! Totalement incurable!

Par & 11 février 2020 à 7 h 59

&, non, je ne pense pas avoir peur, mais pour moi, simple fille de la JOCF, cela vole trop haut...heureusement que Paul, avec ses mots simples et profonds, touchant l'essentiel, remet les pendules à l'heure, ceci dit, cela n'engage bien sûr que moi, amicalement, kat

Par Kat 11 février 2020 à 8 h 22

Chère Kat, et autres oreilles....
Pour moi maintenant c'est le contraire. Ce sont les commentaires du style de Paul qui volent trop haut, ou dans des contrées trop lointaines pour moi.
Alors le petit oiseau de toutes les couleurs (ça c'est Gilbert Becaud) trouve sa joie où il peut et entend, comprend, qui a les oreilles adaptées pour cela à ce moment là. Quand bien même il n'y aurait personne pour entendre, comprendre, lui, chante.
Et celui qui n'entend pas n'est pas forcement sourd, c'est juste qu'il n'a peut-être pas besoin d'entendre, de comprendre cela.

Par & 11 février 2020 à 8 h 47

" Si la confiance du cœur était au commencement de tout...
si elle précédait toute démarche, petite ou grande...
tu irais loin, très loin.

Tu percevrais personnes et événements
non pas avec cette inquiétude qui t'isole et ne vient pas de Dieu,
mais à partir d'un regard intérieur de paix.
Du coup tu deviendrais un ferment de confiance et de paix
jusque dans les déserts de la communauté humaine,
là même où elle se déchire.

Toute créature humaine connaît les déserts de la peur.
Mais, où que tu sois, ce murmure du Christ en toi :
« Confiance du cœur...
Repose-toi en paix sur Dieu seul.
Tu as peur ? Je suis là. »

Mais, diras-tu,
mon milieu de travail, une ambiance de doute,
tout un passé, me tirent si loin de la foi en Dieu...

La foi n'est pas une théorie.
Même quand Dieu demeure l'incompréhensible,
l'essentiel n'est pas d'abord de comprendre Dieu
mais de lui donner ta confiance.

Et un jour les mots ne manquent pas
qui expriment tel reflet de ce mystère non descriptible qu'est Dieu.
Tu en discernes les contours.
Tu le connais à travers le Christ Jésus: il est la transparence de Dieu.

La confiance du cœur, puisée à la foi, ne consiste pas à voir le merveilleux partout,
comme si elle détenait un pouvoir magique.

Souvent retenue aux profondeurs de toi-même,
une telle confiance a besoin d'escalader tout ton être,
comme si elle avait à remonter du tréfonds vers la claire conscience.

Frère Roger Schutz,

Par Paul (Belgique) 10 février 2020 à 22 h 05 Répondre à ce commentaire

merci, Paul, vous avez transmis les paroles dont j’avais besoin ce soir
Merci à tous
Ah qu’il est bon ,qu’il est doux de monter ensemble vers la maison du Seigneur

Par Godelieve 10 février 2020 à 22 h 25

Merci Paul de me rappeler ces paroles de confiance du frère Roger, à la fin de cette journée, juste avant le coucher..."Confiance du cœur, repose toi en Dieu seul, tu as peur, Je suis là...", vraiment merci, kat

Par Kat 10 février 2020 à 23 h 07

Gens qui croient, gens qui doutent ! ce sont les mêmes qui aujourd'hui proclament leur foi et qui demain, douteront... Le Seigneur est vivant, nous l'avons chanté à Pâques. Nous le croyons, c'est notre foi. Et pourtant, il nous arrive de douter. Ainsi allons-nous, pauvres humains. Le Seigneur l'a dit à ses disciples, comme votre coeur est lent à comprendre...
les onze se sont rendus en Galilée à la montagne, lieu par excellence de la rencontre, comme les femmes le leur avaient dit; ils y sont allés parce qu'ils y croyaient... Mais certains eurent des doutes... Il est là devant eux, ils le voit, ils se prosternent et pourtant, ils doutent, sommes-nous donc si incrédules ?
Et oui, nous sommes bien comme eux. Il y a des événements qui nous crèvent les yeux et nous ne les voyons pas, parce que notre coeur est fermé; nous avons des oeillères qui nous empêchent de voir les signes des temps.
Pourtant, malgré tout ce qui se passe dans le monde, de souffrances, de violences, de tant de misères, il ne tient qu'à nous, à moi de te reconnaître, Jésus, de te voir en chacun et de t'ouvrir, grand mes bras, mon coeur.
Tu es toujours là Seigneur. Je sais que tu m'aimes telle que je suis, même quand Il m'arrive encore de douter de Toi.
Merci frère Grégoire pour votre méditation qui m'aide à surmonter ma morosité, ma fatigue.
Merci à tous et bonne soirée !

Par Marie Jeanne 10 février 2020 à 20 h 45 Répondre à ce commentaire

Merci à toi Marie-Jeanne, dans ta morosité tu trouves de bonnes paroles, et pour toi et pour nous, je t'embrasse, kat

Par Kat 10 février 2020 à 22 h 56

Gens qui croient, gens qui doutent, gens qui rient, gens qui pleurent, tous, dès leur conception ou dès leur naissance, pour un temps indéterminé ou déterminé, selon leurs croyances, embarqués dans le tourbillon de la vie de l'univers visible et invisible, connu et inconnu... Tous sur le même bateau.

"Certains eurent des doutes", pas tous.

Certains ont cru, croient, d'autres pas ou autre chose.

"Heureux je suis, heureux de croire sans avoir vu*. " Cher frère Grégoire, pouvez-vous dire en vérité que vous croyez sans avoir vu?. Ne l'avez-vous donc jamais vu dans vos frères comme le prêche votre religion, à tour de bras? Vous ne croyez pas cela? Ou vous ne savez pas voir?
Moi non plus, je n'arrive pas, je ne sais pas le voir, dans mes "freres et sœurs humains", les pauvres, les boiteux, les malades, etc... ce sont des" frères", des "sœurs", avec un nom, un prénom, parfois plusieurs, qui leurs sont propres (même si j'ai du mal à les retenir) et témoignent qu'ils sont uniques, eux aussi, comme moi, comme Jésus.

Par Pitchôune 10 février 2020 à 20 h 09 Répondre à ce commentaire

Merci fr Grégoire ,
c'est chaque jour , que 'on peut être confrontés au doute , qui parfois vient des autres
style dans la maladie :où est ton Dieu maintenant ?
Style devant des gens qui disent ;oh les catho , des impies .
Puis il y a moi et Dieu , avec tout pleins de questions et de réponses , et je me dit , c'est toi
qui réponds ; est-ce possible ?
Il y a des deux , mais au centre , au milieu , il y a la prière , qui ne sait comment expliquer
le Mystère de Dieu , des hymnes qui sont toutes auréolées de louanges .Qui donc inspire de telle merveilles écrites , quel âme peut sinon par la foi ,balayer le doute
et se laisser aller , qu'est-ce qui inspire ? Le doute , je pense surtout comme Esperanza
que l 'on cherche beaucoup d'explications , pour savoir dire aussi Jésus Lumière .
Combat spirituel , tant qu'il est là , c'est ce qui compte , mais la prière de touts les temps , ont mis le doute en fuite , quand au creuset , tous nous sommes vulnérables
et l'Eucharistie est force pour dire preuves , c'est presque mon anniversaire , et demain c'est la journée des malades , et c'est une invitation à prier pour tout les malades , en commençant par soi-même , avec , sans auréole c'est d'être là .
Quand vous priez croyez que vous ;l'avez reçu ! oui être ensembles , c'est bon , quand
un doute , l'autre relève .Dis seulement Une Parole Seigneur , et je serai guéri.
La prière de l'église? Oui heureux sommes-nous .Marie conçue sans péchés priez
pour nous qui avons recours à vous.

Par fred 10 février 2020 à 16 h 53 Répondre à ce commentaire

Le doute, c'est comme la foi, un don de la vie.... comme la foi, il se nourrit de la vie, de la foi et du doute des autres, mais aussi de la méditation et de la prière...
Est-ce un péché de douter? Une tentation? ou une grâce?
Peut-être un peu tout cela, comme la foi, qui peut parfois infantiliser ou faire perdre la tête et la notion/le sens du bien et du mal...

Par Val 10 février 2020 à 16 h 27 Répondre à ce commentaire

Mamoune et Mahonna,
Vous dites ce que je ressens et vit depuis mon enfance, quoi ajouter...surtout que la fin de votre commentaire Mamoune, est l'essence même de votre (notre) foi, amicalement, kat

Par Kat 10 février 2020 à 17 h 02

Foi et doutes vont ensemble dites-vous ?... Mais ne peut-il pas aussi exister une foi sans doutes? Excusez-moi si je parle de mon expérience.
Ma foi je l'ai reçue en héritage. Mes parents étaient des croyants pratiquants, surtout maman qui avait dû se battre pour aller à l'église et faire sa communion, son père étant contre l'Eglise. La foi en Christ a toujours été une évidence pour moi. Pendant mes années-lycée, confrontée à l'indifférence de nombre de mes camarades, et au judaïsme d'une autre, ma foi s'en est trouvée confortée, tout en étant respectueuse de ce que pensaient les autres, et sans prosélytisme. Quand j'ai rencontré celui qui allait devenir mon époux, ma foi s'est encore grandie dans l'amour que nous éprouvions l'un pour l'autre. Elle a résisté aux épreuves (deuils, soucis de santé, problèmes familiaux . Est-ce que je fais partie des privilégiés ? A moins que le doute puisse encore s'installer..... A plus de 80 ans ?...
J'ai déjà rencontré une foi identique chez les grands-parents de mon époux, des gens simples, que le sort n'avait pourtant pas épargné : leur fils et leur belle-fille morts en laissant 3 orphelins (dont mon mari) qu'ils avaient pris en charge. Malgré tout, ils avaient la foi chevillée au corps, ce qu'on appelait la "foi du charbonnier"!
Je pense que quand on a fait la rencontre de Jésus dans l'ordinaire de notre vie, il ne nous quitte plus, il marche avec nous.

Par Mamoune 10 février 2020 à 15 h 51 Répondre à ce commentaire

Je vous rejoins Mamoune dans l'expression de la foi dite "du charbonnier" . Mes parents l'avaient "chevillée au corps" et à l'âme et par quelques exemples simples me l'avaient décrite. Egaux mais différents : voilà ce que nous sommes en tout y compris dans la foi. Le doute peut s'infiltrer à n'importe quel moment de la vie, quels que soient l'âge ou la confiance en ce que nous avons appris. Que seraient nos scientifiques, nos chercheurs s'ils ne doutaient pas ? Foi et raison peuvent faire bon ménage : l'une est difficilement explicable par son aspect "immatériel" ; l'autre est confortée ou non par les démonstrations pratiques.

Par mahona 10 février 2020 à 16 h 14

A l'attention de Mahona, Kat, Fred et Paul,

J'ai tenté une réponse à vos interventions à la suite des commentaires relatifs à la méditation précédente.

Par Esperanza 10 février 2020 à 12 h 56 Répondre à ce commentaire

Ce n'est pas dans mes habitudes mais je voudrais partager cette prière de St Bernard qui me semble appropriée dans les moments d'incertitudes "O toi, qui que tu sois, qui, dans cette marée du monde, te sens emporté à la dérive parmi les orages et tempêtes plutôt que sur la terre ferme, ne quitte pas les feux de cet astre, si tu ne veux pas sombrer dans la bourrasque. Quand se déchaînent les rafales des tentations, quand tu vas droit sur les récifs de l'adversité, regarde l'étoile, appelle Marie. Dans les dangers, dans les angoisses, dans les situations critiques,, pense à Marie, crie vers Marie. que son nom ne quitte pas tes lèvres, qu'il ne quitte pas ton cœur". J'espère que nos frères sœurs dominicains me pardonneront cet emprunt à St Bernard Quant à Marie, son "oui" confiant et total n'est-il pas la preuve de sa foi dans les paroles du messager ?

Par mahona 10 février 2020 à 12 h 21 Répondre à ce commentaire

Croire et douter?
Peut-on croire et ne pas aimer, ne pas adorer?
Se redire je crois, est-ce le début de l'adoration?
Dans la messe on redit sa foi, ou peut-être plutôt celle à laquelle on dit adhérer, ou vouloir adhérer, mais est-ce aussi une forme d'adoration?
J'ai l'impression de tout mélanger ce matin tellement croire en votre Dieu, ami(e)s chrétiens, catholiques, est difficile, compliquée, selon la foi officielle et dans votre carcan de rites, de dogmes et d'enseignements....
Voilà, maintenant je vais essayer de me taire pour mieux écouter, peut-être la lumière jaillira des ténèbres...

Par & 10 février 2020 à 11 h 19 Répondre à ce commentaire

Chèr(e) & Pourquoi mettre (toujours) un écran entre vous et vos sentiments ? Vous écrivez "on redit sa foi ou peut-être celle à laquelle on dit adhérer…." quand on dit "je t'aime" à une personne, l'aime-t-on vraiment ou croit-on l'aimer ? Le doute est nécessaire ; il permet d'approfondir, de connaître, d'adhérer ou de rejeter. Mais la confiance existe aussi. Et quand vous citez "le carcan de rites, de dogmes, d'enseignement…" puisque vous avez étudié ou vous êtes documenté sur les autres religions, vous conviendrez quand même qu'en ce qui concerne les rites d'autres religions, la religion catholique s'est bien allégée. Enfin, je me pose la question : qu'est-ce qu'une foi "officielle ?" On peut négocier un contrat. Une religion est-elle négociable ?

Par mahona 10 février 2020 à 12 h 02

la "foi officielle" : celle du credo. Je suis incapable de dire "de bonne foi" que je crois à tout.
A partir de là, je peux me dire, et je me dis, je crois en la Miséricorde pour mes faiblesses et mon manque de foi, sauf que je suis incapable de recevoir ce "don" dans le sacrement de la "réconciliation". Rebelote: croire en la Miséricorde et l'Amour de Dieu, etc... à la fin c'est épuisant de tout le temps être mis à mal par une foi qui n'est pas "entièrement" la mienne.
4 ans de psychothérapie sont passé, pour aplanir les chemins, mais aussi les croyances religieuses, l'efficacité de la prière, de la foi...
J'aimerais pouvoir seulement désirer croire, mais même cela est au-dessus de mes forces tant le doute est grand, et donc me donne l'impression (que ce soit une impression ou autre chose) d'adorer un veau d'or en prenant Jésus Christ, vrai homme pour vrai Dieu.
Et puis je suis incapable de considérer un Dieu comme quelqu'un à adorer et magnifier, et même cette infinie beauté de la création et de l'univers, qui peut me faire remonter jusqu'à un "Dieu des origines, créateur", amour miséricordieux qui me permet et m'a permis de reprendre pied dans la vie, de l'endurer, mais toujours pas de l'aimer. C'est là que le bât blesse : je ne peux pardonner entièrement à l'Eglise et à son Dieu, pour revenir à sa table.
Mon écharde? mon doute et une blessure, qui me laissent parfois au seuil de l'Eglise.
Désolée, je m'exprime trop aujourd'hui.

Par & 10 février 2020 à 12 h 57

Oui frère Grégoire, vous dites bien " Je ne sais pas quelle aurait été ma réaction si j’avais été avec les onze" seulement voilà vous ne le saurez jamais, Seul le Saint Esprit a la réponse, il y a 2000 ans, j'ai un léger doute....
Qui n'a jamais douté une fois dans sa vie dans les moments difficiles, pénibles,
les grands saints ont douté, Sainte Thérèse d'Avila, « À voir comment tu traites tes amis, on comprend pourquoi tu en as si peu ! " Mère Théresa a souffert dans sa foi tout au long de sa vie a douté de l'existence de Dieu, Thomas a douté
Je suis assaillie par les doutes, pourtant je vais à la messe pratiquement tous les jours, je demande pardon à Dieu au moment de l’Élévation du Corps du Chris, je suis en hôpital de jour pour une période assez longue, je suis fatiguée, ma vie ne ressemble à rien. en cette période
Jésus dit aux disciples "douteurs" que tout pouvoir m'a été donné au ciel et sur la terre
Le Seigneur les envoie en mission,ils s'agenouillent devant le Christ Ressuscité je doute de ma foi, mais je reprends confiance dans les tourments de la souffrance, je m'accroche car je suis seule avec le Seigneur

Par Suzelle 10 février 2020 à 11 h 05 Répondre à ce commentaire

Un verbe rare que ce verbe douter, distazo en grec, dans les évangiles. De fait, il n'apparaît qu'une seule autre fois, en Matthieu 14, lorsque les disciples, assemblés dans la barque, voient Jésus venir à eux, marchant sur les flots. "Seigneur, si c'est toi, ordonne que j'aille vers toi sur les eaux" lui dit alors Pierre (Mt 14, 28), répondant à Jésus qui, voyant leur frayeur, leur a dit : "Rassurez-vous, c'est moi; n'ayez pas peur !" (v.27). L'ombre d'un doute, déjà...
Et Pierre de marcher sur l'eau, et Pierre soudain de prendre peur, "Seigneur, sauve-moi!" (v.30). "Aussitôt Jésus étendit la main, le saisit, et lui dit : Homme de peu de foi, pourquoi as-tu douté ?" (v.31). Et Pierre et Jésus de rejoindre la barque, et le vent de tomber, et les disciples, là, déjà, de se prosterner devant Jésus en disant : "Tu es véritablement le Fils de Dieu" (v.33).
Le doute n'est pas mauvaise herbe arrachée une fois pour toute. Les disciples savent qui est Jésus depuis longtemps déjà, le voient ici ressuscité, mais rien n'est jamais totalement acquis, le chemin toujours reste à refaire. Peut-être est-ce pourquoi il est si important de réciter le credo. De redire, encore et toujours, "je crois". De réfléchir à ce que nous croyons, comme on ancre ses pieds dans la terre. Et si la peur revient, s'insinue comme l'ombre d'un doute, se rappeler Pierre, le roc qui s'enfonçait dans la mer, et Jésus, là, étendant la main.
Merci fr Grégoire!

Par Audrey 10 février 2020 à 10 h 48 Répondre à ce commentaire

Douter? Croire? La Promesse est tellement incroyable! Faire le pari de la confiance, n'est-ce pas déjà entrer dans le grand chantier de la construction du Royaume? Accepter avec humilité, quand monte le doute, d'être l'aveugle sur le chemin, qui avance, la main posée sur l'épaule du frère plus assuré.
Difficile d'entrer dans cette confiance en solo, je dirais même impossible, car c'est ensemble que l'on devient des bâtisseurs. Notre caractère français, plus spontanément individualiste, sceptique et polémiste, nous rend souvent plus prompt à nous méfier qu'à accueillir!
Merci Frère Grégoire de nourrir notre réflexion. Merci au lecteur.

Par Brigitte 10 février 2020 à 10 h 25 Répondre à ce commentaire

"heureux ceux qui doutent" ! Je crois quand tout va bien ! Je doute quand tout va mal ! Mettre le nom de Jésus sur mes doutes, sur mes peurs .... Alors j'avance !

Par MARTIN 10 février 2020 à 10 h 10 Répondre à ce commentaire

Pour ma part je ne doute pas de la présence du Seigneur dans ma vie. À maintes reprises il m'a prouvé qu'il était là bien présent pour me soutenir dans mes difficultés, mes douleurs, me guidant par des paroles, des frères et sœurs mis sur mon chemin. Que ferai je sans toi Seigneur si tu n'étais pas à mes côtés. MJ

Par Langeron 10 février 2020 à 9 h 56 Répondre à ce commentaire

L’Église, heureux sommes-nous, l’Église c’est gens qui doutent et c’est les mêmes gens qui croient
C'est donc beaucoup d'hypocrites qui disent je crois mais ne croient pas vraiment, mais pas tous à la fois, pas tous en même temps, pas tous sur les mêmes "choses"???

Par & 10 février 2020 à 8 h 51 Répondre à ce commentaire

Finalement, d'une certaine façon, même moi j'en fais toujours partie de votre Eglise, et pas parceque je suis baptisée, C'est ce à quoi j'ai toujours cru et crois toujours, mais personne n'est forcé d'adhérer à cette vision de l'Église Catholique, de là à rejoindre ses rites et ses dogmes c'est autre chose....

Par & 10 février 2020 à 9 h 47

Vos méditations sont vraiment formidables ! Elles donnent confiance à une chrétienne comme moi qui se situe à la périphérie. Un grand merci.

Par Edith 10 février 2020 à 8 h 50 Répondre à ce commentaire

J'ai lu tant de fois ma vie et tout ce qui l'entoure dans les écritures, ancien et nouveau testament. Ca devrait me faire croire, louer et adorer? Mais non. Depuis 2000 ans il y a des gens qui croient et d'autres qui ne croient. Et parmi tous ceux qui croient ils ne croient pas aux mêmes "choses" ni de la même façon. Et tous, croyants ou non, font du bien et du mal, même les Saints...
Quand je regarde les religions et ceux qui croient, et notamment la religion catholique puisque c'est celle que j'ai pratiqué, j'ai l'impression que c'est Jésus Christ vrai Dieu son "veau d'or". C'est l'adoration qui me pose problème depuis toujours, comme si c'était le fait d'adorer Dieu qui fait de Dieu un veau d'or.
Disciples: qui sont-ils? Ceux qui croient? Ceux qui doutent? Ceux qui ne croient pas?
Se prosterner : je n'ai jamais été du style à baiser les pieds d'un homme ou d'un Dieu. Il me fallait un dialogue (ou monologue) intérieur très simple mais très fort avec mon Dieu pour donner sens à une génuflexion, l'adoration de la croix, l'inclination du corps, ou même la communion...
Souvent en regardant autour de moi et en moi, en contemplant, paisiblement, je m'interroge, je l'interroge, ou je le regarde, ce Dieu connu ou Inconnu, silencieusement. Et parfois je souris...

Par & 10 février 2020 à 8 h 44 Répondre à ce commentaire

Juste une réflexion suite à votre commentaire : Voir en "Jésus Christ vrai Dieu son veau d'or" ne dépend en fait que de nous. Et comme dans l'air de l'opéra "il est toujours debout" depuis 2000 et quelques années Comme le sont les divinités asiatiques ou celles d'autres pays. A la différence que Jésus Christ n'a jamais promis l'opulence matérielle sur terre.

Par mahona 10 février 2020 à 9 h 30

Pardon, on n'adore pas la croix, on la vénère. Si un puriste des termes pouvaient (re)expliquer la différence, peut-être je comprendrais mieux mais pas sûr que ça me mette plus à l'aise pour autant avec l'adoration comme avec la vénération.
Votre message Mahona m'interpelle: je ne vois pas en Jesus SON veau d'or, mais c'est LE FAIT D'ADORER DIEU, peut-être d'ailleurs plus dans les signes extérieurs, (à la façon chrétienne, musulmane, juive, ou autre, peu importe), que je le vois comme le veau d'or de l'ancien testament.
Peut-être que c'est juste une vue trop extérieure et "non croyante" qui me rappelle ce passage, et peut-être parce que c'est juste que je ne sais pas et n'ai jamais su adorer, parce que je n'ai jamais aimé au point d'adorer?

Par & 10 février 2020 à 10 h 57

Oui frère Grégoire ce doute qui ronge tant de personnes. Mais pourquoi douter encore devant tous ces témoignages que l'on entend depuis plus de deux milles ans. L'histoire de tous les saints et d'autres gens méconnus par lhistoire, toutes ces guérisons inexpliquées par la science, toutes ces personnes qui étaient dans la nuit et qui en sont sortis par la prière.

Je serais bien ingrate si je rendais pas grâce au Seigneur qui m'a accompagnée dès mon plus jeune âge (4 ans) dans la maladie et notamment la perte de mon frère jumeau. Puis encore à 6 ans alors que j'avais reçu une pierre à la tempe et fais un coma, et tant de fois par la suite. Ce doute, de mémoire, je ne pense pas l'avoir connu car Jésus était dans ma vie depuis l'enfance et c'est une grâce et je ne dirais jamais assez merci. J'ai eu ma par de malheurs, de maladies, de décès, mais je ne doute pas que Jésus est bien ressuscité et qu'il est là avec nous et que sa mère, Marie l'Immaculée Conception, prie avec nous et veille sur nous.

Je ne doute pas par contre je prie le Seigneur de toujours me donner cette foi qui nous donne l'ardeur de prier et de prier encore pour les autres et pour nous. En effet il m'arrive souvent d'ouvrir ma Bible ou de prier et d'être prise soudainement d'une envie irrésistible de dormir. Je ne sais pas si cela arrive à certains d'entre vous et j'aimerais savoir si c'est le cas, ce que vous faites.

Avec vous dans la prière. Bonne et sainte journée.

Par Marilou 10 février 2020 à 7 h 20 Répondre à ce commentaire
voir tous les commentaires

Souhaitez-vous lancer le player audio ?